Circuit Grand Panorama du Tibet en 10 Jours : Lhassa, Nyingchi, Shigatsé & Camp de Base de l’Everest

  • Explorez l’histoire profonde de Lhassa au Palais du Potala et au Temple Jokhang, rencontrez des paysages poétiques à Nyingchi, ressentez la spiritualité au monastère de Tashilhunpo à Shigatsé, et contemplez la grandeur du mont Everest au camp de base.

    Commencez votre aventure à Lhassa, partez ensuite à Nyingchi pour admirer les gorges, forêts et lacs sacrés. Poursuivez vers Shigatsé puis au camp de base de l’Everest pour contempler le sommet du monde, avant de repartir le cœur rempli de souvenirs inoubliables.


  • Day 1

    Arrivée à Lhassa

    Trajet : environ 1 heure, Distance : 60 km, Altitude : 3600 m

    Aujourd’hui, vous arrivez à Lhassa, la « Cité du Soleil ». Votre guide local tibétain vous accueillera chaleureusement en vous offrant une khata, une écharpe blanche traditionnelle symbole de pureté et de bénédictions. En route vers le centre-ville, vous traverserez le pont de la rivière Lhassa, et un paysage totalement différent de celui de l’intérieur de la Chine se dévoilera peu à peu : un ciel pur, des eaux bleues cristallines, des drapeaux de prières flottant dans le vent – tout semble unique et sacré. Vous êtes enfin arrivé dans la ville sainte tant rêvée. Installation à l’hôtel et repos pour vous adapter à l’altitude.

    Lhassa est la capitale de la région autonome du Tibet ainsi que son centre politique, économique et culturel. C’est une ville ancienne et mystérieuse, considérée comme un haut lieu du bouddhisme tibétain, riche en vestiges historiques, en traditions religieuses et en paysages naturels majestueux.

    Situation géographique :
    Lhassa est située dans le sud-ouest de la Chine, au sud-est de la région autonome du Tibet, sur les hauteurs de la rivière Lhassa, un affluent du Yarlung Tsangpo. L’altitude moyenne de la ville est d’environ 3 650 mètres, ce qui en fait l’une des villes les plus élevées du monde.

    Histoire et culture :
    Réputée pour la beauté de ses paysages, sa longue histoire, ses coutumes uniques et sa forte spiritualité, Lhassa a reçu de nombreuses distinctions, telles que : « Ville touristique d’excellence de Chine », « Ville préférée des touristes européens », « Ville civilisée nationale », « Ville la plus sûre de Chine », et figure parmi les « 200 villes les plus attractives au monde » et les « 100 meilleures destinations touristiques de Chine 2018 ».

    Sites touristiques :
    Lhassa abrite de nombreux sites historiques et religieux. Le palais du Potala, le temple de Jokhang et le palais de Norbulingka sont classés au patrimoine mondial de l’UNESCO. Parmi les autres lieux incontournables figurent : le monastère de Drepung, le monastère de Sera, le temple de Ramoche, le parc Zongjiao Lukang, les tombes des rois tibétains, le monastère de Chubu, la grande mosquée de Lhassa, le site archéologique de Qugong, le musée du Tibet, la montagne Yaowang, et les monastères de la lignée Drigung Kagyu. Les principales zones commerçantes incluent la rue Barkhor, la rue piétonne Yutuo et les grands magasins de Lhassa.

    Gastronomie locale :
    À Lhassa, commencez votre journée comme un habitant avec un bol de nouilles tibétaines accompagné d’un verre de thé sucré, un classique du petit déjeuner local. En vous promenant en ville, vous trouverez partout des boutiques de nouilles froides (liangfen). Servies en version épaisse ou fine, blanches ou jaunes, elles sont relevées avec de l’ail, du piment et d’autres condiments – une collation simple mais savoureuse.

    Au petit matin, de nombreux Tibétains boivent également le thé au beurre de yak, un mélange salé à base de feuilles de thé, de beurre et de sel. Riche et nourrissant, il est idéal pour résister au froid et calmer la faim. L’autre aliment incontournable est le tsampa, un plat traditionnel fait de farine d’orge grillée mélangée à du thé au beurre. L’orge, en particulier l’orge d’altitude (orge perlière), est la principale céréale cultivée sur le plateau tibétain.

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  • Day 2

    Palais du Potala – Temple de Jokhang – Rue Barkhor – Hôtel

    Transport + Visites + Repas, durée totale : 9 heures, distance : 100 km, altitude : 3650 m

    Palais du Potala
    Le Palais du Potala est situé sur la colline de Marpori (la « Colline Rouge »), au nord-ouest de la vieille ville de Lhassa, capitale de la région autonome du Tibet. Ce complexe monumental a été initialement construit au 7ᵉ siècle par le roi tibétain Songtsen Gampo, à l’occasion de ses mariages avec la princesse Bhrikuti du Népal et la princesse Wencheng de la dynastie Tang.

    Reconstruit au 17ᵉ siècle, il devint la résidence d’hiver des Dalaï-Lamas successifs et le centre du pouvoir politico-religieux du Tibet. Il est considéré comme le palais situé à la plus haute altitude du monde et l’un des plus grands complexes palatiaux existants. C’est aussi le symbole architectural le plus emblématique du Tibet.

    Son architecture mêle des influences tibétaines, chinoises (Tang), népalaises et indiennes, et il constitue aujourd’hui un lieu sacré du bouddhisme tibétain ainsi qu’un patrimoine culturel d’une valeur exceptionnelle. Le palais se compose de deux parties : le Palais Blanc, dédié aux fonctions administratives, et le Palais Rouge, réservé aux activités religieuses.

    Aujourd’hui, environ 80 moines y résident encore. Lors de la visite, on peut voir des moines balayer, réciter des prières ou entretenir les temples. Contrairement à un « musée rempli de trésors », le Potala s’apparente à un vaste monastère vivant, abritant innombrables manuscrits sacrés, statues bouddhiques et stupas contenant les reliques des grands maîtres spirituels.

    De nombreux fidèles viennent en pèlerinage, récitant des mantras, faisant tourner leurs moulins à prières, ou se prosternant corps et âme devant les statues, les portes, les tentures et les sols sacrés.

    Temple de Jokhang
    Le Temple de Jokhang est l’un des sanctuaires les plus vénérés du bouddhisme tibétain et un haut lieu spirituel de renommée internationale.

    Centre spirituel du Tibet
    Construit durant le règne du roi Songtsen Gampo, le temple représente l’introduction et l’enracinement du bouddhisme au Tibet. Il est considéré comme le cœur spirituel de la foi tibétaine.

    Lieu d’enseignement et de pratique
    Le Jokhang est aussi une école monastique, où les moines étudient les écritures, la philosophie bouddhique et accomplissent des rituels. C’est un centre de transmission du Dharma (les enseignements bouddhiques).

    Destination de pèlerinage
    Chaque jour, d’innombrables pèlerins s’y rendent pour prier, faire des offrandes d’encens, se prosterner et réciter les sutras. En 1994, le temple a été inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, ce qui souligne son importance historique, religieuse et artistique à l’échelle mondiale.

    Rue Barkhor (Quartier de Barkhor)
    La Rue Barkhor (aussi appelée Bakuo) est l’âme historique et spirituelle de Lhassa. Elle forme une boucle de pèlerinage autour du Temple de Jokhang, où se mêlent foi bouddhique profonde et vie quotidienne animée. C’est une miniature vivante de la culture tibétaine.

    S’y promener, c’est remonter le temps : les odeurs d’encens, les prières murmurées, les pas tournant autour du temple, tout crée une atmosphère unique.

    Un paradis pour les acheteurs
    La rue regorge de boutiques et d’étals vendant des objets rituels bouddhiques, des vêtements traditionnels et des artisanats tibétains. Parmi les trésors à ne pas manquer : des thangka (peintures religieuses), des bijoux en cuivre, des moulins à prières, ou encore des costumes folkloriques.

    À la découverte des saveurs tibétaines
    C’est aussi l’endroit idéal pour goûter à la cuisine locale : thé au beurre de yak, bière d’orge (chang), ou pâtisseries tibétaines parfumées, parfaites pour une immersion culinaire authentique.

    Immersion culturelle
    Au-delà du commerce, la Rue Barkhor est une galerie vivante de la foi tibétaine. On y découvre des temples anciens, des sanctuaires, et des maisons décorées dans le plus pur style architectural tibétain. L’ambiance religieuse y est palpable, profondément enracinée dans le quotidien des habitants.

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  • Day 3

    Lhassa – Nyingchi

    Trajet, visites et repas : environ 9 heures, 500 km, altitude de 3 650 m à 2 900 m

    Basum Tso – La « Petite Suisse du Tibet » | Un Paradis Caché entre Montagnes et Lacs
    Surnommé la « Petite Suisse du Tibet », le lac Basum Tso est un joyau naturel où se rencontrent montagnes enneigées, forêts primitives, cascades, pâturages alpins, monastères bouddhistes et vestiges historiques. Inscrit comme site touristique mondial par l’Organisation mondiale du tourisme et classé Parc forestier national, Basum Tso est aussi surnommé le paradis des randonneurs.

    Le lac, aux eaux limpides et émeraude, repose paisiblement entre les glaciers et les sommets imposants. Les montagnes enneigées se reflètent dans l’eau comme dans un miroir, formant un paysage spectaculaire et serein. C’est une destination encore peu fréquentée, préservée et hors des sentiers battus.

    Depuis les rives jusqu’aux montagnes voisines, les couleurs éclatantes et la tranquillité absolue offrent un cadre idéal aux photographes. Pour admirer l’île Tashi, semblable à un joyau au cœur du lac, il faut gravir la colline derrière le complexe touristique de Basum Tso.

    L’île abrite le monastère Tsozong Gongba, un sanctuaire sacré de la tradition Nyingma du bouddhisme tibétain, entouré d’arbres centenaires comme le célèbre « Pin étreint par un pêcher ». Le trajet vous fera aussi découvrir la vallée pittoresque de la rivière Niyang, où se côtoient sommets, forêts, prairies et troupeaux de yacks.

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  • Day 4

    Nyingchi – Mont Sejila – Forêt de Lulang – Ville de Lulang

    Transport + Visite + Repas : Durée totale de 8 heures, environ 200 km, avec une altitude passant de 2900 m à 4720 m puis redescendant à 2900 m.

    Mont Namcha Barwa – Le Sommet le Plus Magnifique de Chine
    Situé dans la région de Nyingchi au Tibet, le mont Namcha Barwa culmine à 7 782 mètres et marque l’extrémité orientale de l’Himalaya. Surnommé « la plus belle montagne de Chine » et « la lance qui transperce le ciel », ce sommet sacré fascine par son mysticisme. Il se trouve à la jonction des chaînes de l’Himalaya, du Nyenchen Tanglha et des monts Hengduan. Vus depuis le col de Sejila au lever du soleil, ses pics enneigés dévoilent une silhouette majestueuse, souvent enveloppée de nuages, comparés à de l’encens divin. Son flanc sud arbore un motif glaciaire en forme de svastika, symbole du bouddhisme. Observer clairement le sommet est rare, et considéré comme un signe de chance exceptionnelle.

     

    Forêt de Lulang – La “Suisse Tibétaine”
    La forêt de Lulang, dont le nom signifie « vallée du roi dragon » en tibétain, est un paysage alpin luxuriant situé dans le comté de Lulang, à Nyingchi. Baptisée « la Suisse du Tibet », elle se niche entre 2 700 et 4 200 mètres d’altitude et offre une végétation dense, des brumes flottantes, et des prairies de montagne fleuries. Elle se trouve sur la Route Nationale 318 et bénéficie de l’humidité des courants venus de l’océan Indien, ce qui lui vaut le surnom de « Jiangnan du Tibet ». Les visiteurs peuvent y pratiquer le tir à l’arc, faire de l’équitation ou simplement flâner parmi les forêts, où s’épanouissent fleurs sauvages, pins majestueux et écureuils bondissants.

     

    Village de Lulang – Trésor Caché des Hauts Plateaux
    Perché à 3 280 mètres d’altitude, le village de Lulang allie architecture tibétaine traditionnelle rouge et blanche à une ambiance de bourgade alpine. Traversé par une rivière pittoresque et encadré par les montagnes et les forêts, ce village paisible évoque un décor de conte de fées. Chaque saison y offre un tableau différent : floraisons au printemps, verdure en été, champs dorés en automne, ciel bleu éclatant en hiver. Le village de Zaxigang, à proximité, est particulièrement recommandé pour son authenticité : chants d’oiseaux, champs d’orge et hospitalité tibétaine y créent une expérience inoubliable.

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  • Day 5

    Nyingchi – Vallée de Kading – Lhassa

    Transport + Visites + Repas|Durée totale : 10h, 420 km|Altitude : de 2 900 m à 3 650 m

    Kadinggou : Vallée sacrée de cascades et de merveilles bouddhistes à Nyingchi, Tibet
    Située dans la région pittoresque de Nyingchi, au Tibet, Kadinggou est l’unique site touristique du Tibet combinant paysage naturel grandiose et statues religieuses bouddhistes formées naturellement. Surnommée le « paradis sur terre » en tibétain, la vallée abrite la spectaculaire cascade céleste (Tianfo), qui tombe en chute libre sur 200 mètres depuis la montagne. Elle est impressionnante pendant la saison des pluies et scintille comme un voile d’argent en hiver.

    La Cascade Céleste : une vision divine sculptée par la nature
    L’attraction principale est une statue naturelle de Bouddha sculptée dans la falaise même, près de la cascade. Les traits du visage sont clairement visibles, flanqués de deux divinités protectrices : à droite, une gardienne féminine Beidram, haute de plus de 100 mètres, tenant un chapelet, le visage voilé, ceinturée de soie — un chef-d’œuvre naturel. À gauche, on aperçoit la silhouette de Ji Gong en prière, saisissante de réalisme.

    Des pierres devenues divines : un paysage spirituel
    La vallée ne se limite pas aux cascades. Les rochers et parois rocheuses racontent des légendes sacrées : des aigles figés dans la pierre, des dieux incrustés dans les falaises… Pour les Tibétains, ces pierres sont des manifestations vivantes des divinités — des esprits figés par le temps, visibles de loin comme des êtres mystiques.

    Un bol d’oxygène au cœur des montagnes
    Grâce à son air pur et fortement oxygéné, Kadinggou est un refuge naturel idéal pour s’acclimater à l’altitude. C’est un lieu serein où la nature domine : arbres centenaires, pics majestueux, cascades et chants d’oiseaux enveloppent le visiteur dans une atmosphère de paix. Face aux falaises, le regard perçoit des formes divines dans les veinures de la roche.

    Balade facile, immersion totale
    Une passerelle aménagée permet une boucle d’environ 3 km, faisable en une heure. C’est l’un des sites les plus accessibles et immersifs de la région de Nyingchi — parfait pour une découverte courte mais intense, mêlant spiritualité et paysages grandioses.

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  • Day 6

    Lac Yamdrok – Glacier Karola – Hôtel à Shigatsé

    Trajet + Visite + Repas | Durée totale : 10 heures | 370 km | Altitude : 3650 m–4980 m–3800 m

    Lac Yamdrok (羊卓雍措)
    En tibétain, le nom Yamdrok signifie « lac du cygne ». Il s’agit de l’un des trois grands lacs sacrés du Tibet, et du plus grand lac d’eau douce de la région. Le lac est parsemé d’une dizaine de petites îles, et ses eaux d’un bleu turquoise limpide, entourées de montagnes majestueuses, offrent un paysage spectaculaire et poétique.

    Yamdrok est un lac de barrage d’altitude, formé il y a des millions d’années suite à des glissements de terrain glaciaires ayant obstrué le cours d’une rivière. Sa forme est irrégulière, avec de nombreuses ramifications et un littoral sinueux. Il est relié à trois autres petits lacs : Kongmu Tso, Chen Tso et Gyü Tso.

    Autrefois, Yamdrok était un lac exoréique : les quatre lacs formaient une même étendue d’eau qui se déversait dans le fleuve Yarlung Tsangpo par la rivière Moqu. Mais le recul du niveau d’eau au fil du temps a transformé Yamdrok en lac endoréique, divisé en plusieurs bassins dont l’altitude ne diffère que de 6,5 mètres.

    Le lac, aux reflets miroitants et turquoise, est entouré de prairies fertiles, faisant de lui un riche pâturage d’altitude. Les habitants tibétains le célèbrent dans leurs chants populaires :

    « Paradis céleste dans les cieux, Yamdrok sur la terre. Les étoiles au ciel, les yaks et moutons au bord du lac. »

    En hiver, la surface du lac gèle, semblable à une jeune femme vêtue de blanc, allongée dans les bras enneigés de l’Himalaya. À la fin du printemps et au début de l’été, les bergers transportent leurs troupeaux vers les îles du lac, où les animaux paissent en toute tranquillité. L’été, les berges deviennent luxuriantes, idéales pour le pâturage. En automne-hiver, hommes et bêtes regagnent la rive.

    Yamdrok est également un riche “réservoir naturel de poissons”. Le lac abonde de plancton et de nourriture pour les poissons. Chaque été, les bancs quittent les profondeurs pour frayer dans les zones peu profondes, si bien qu’on peut parfois les attraper à la main. Comme les Tibétains, par tradition religieuse, ne consomment pas de poisson, ce lac est devenu un véritable sanctuaire aquatique. Il est particulièrement réputé pour sa carpe nue des hauts plateaux, à la chair fine et savoureuse. Le lac contiendrait plus de 800 millions de kilos de poissons, d’où son surnom :
    Le réservoir à poissons du Tibet.

    Glacier de Karola (卡若拉冰川)
    Le glacier de Karola se trouve à la frontière entre le comté de Langkazi et le comté de Gyangzê, dans la région de Shannan au sud du Tibet, à environ 71 km de la ville de Gyangzê. Il s’agit de l’un des trois plus grands glaciers continentaux du Tibet, et de la source orientale de la rivière Nyangchu. Il est situé à proximité du lac Yamdrok, et la vue au pied de sa langue glaciaire est particulièrement impressionnante.

    En tant que glacier continental, Karola est célèbre pour sa vaste langue glaciaire, son lac glaciaire bleu profond, et les sommets enneigés qui l’entourent, créant un panorama naturel saisissant. C’est un lieu idéal pour ressentir la majesté des glaciers et la puissance sculpturale de la nature.

    En raison de son altitude élevée, il est recommandé aux visiteurs de prendre des précautions contre le mal d’altitude, en se préparant convenablement. En outre, les conditions météorologiques peuvent affecter l’ouverture du site. Il est donc conseillé de consulter les prévisions météo et les informations locales avant de s’y rendre.

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  • Day 7

    De Shigatsé au camp de base de l’Everest

    Trajet + Visites + Repas : Durée totale 10 heures, environ 350 km, altitude de 3 800 m à 5 200 m

    Mont Everest : Le Toit du Monde, un sanctuaire pour les rêveurs et les aventuriers
    Dans l’immensité de notre planète, une montagne se dresse au-dessus des nuages, dominant tous les sommets : le majestueux Mont Everest, surnommé « le Toit du Monde ». Plus haut sommet de la Terre, l’Everest n’est pas seulement une merveille géographique, c’est aussi un symbole mythique, un lieu sacré pour des générations d’alpinistes et d’explorateurs.

    Son altitude impressionnante de 8 848,86 mètres (surface neigeuse) — ou 8 844,43 mètres (surface rocheuse) — n’est qu’une partie de sa splendeur. L’Everest offre un paysage spectaculaire de glaciers étincelants, de neiges éternelles et de crêtes acérées. Sous les rayons du soleil, ses sommets brillent comme un joyau suspendu entre ciel et terre. La nuit, sous un ciel étoilé, il devient encore plus saisissant, comme si l’univers entier brillait pour lui.

    Mais gravir l’Everest est une épreuve d’endurance et de volonté. Les conditions climatiques extrêmes, les tempêtes de neige, le froid glacial et le manque d’oxygène en font un des défis les plus redoutables de la planète. C’est pourtant cette difficulté qui attire les plus téméraires. Ils avancent pas à pas, portés par leur foi et leur détermination, pour atteindre le sommet du monde — une victoire sur soi-même et une expérience inoubliable.

    Le Mont Everest n’est pas seulement une montagne, il est un symbole d’aspiration humaine et de dépassement de soi. Il inspire à viser plus haut, à rêver plus grand, à explorer l’inconnu avec curiosité et courage.

    En tibétain, « Qomolangma » signifie « la Mère de la Terre ». Situé à la frontière entre la Chine et le Népal, c’est le sommet principal de la chaîne de l’Himalaya, et un site emblématique de la spiritualité tibétaine. La région connaît des vents violents, surtout en hiver, et son écosystème fragile abrite de nombreuses espèces rares. Mais le réchauffement climatique, la fonte des glaciers et l’activité humaine menacent aujourd’hui cet équilibre.

    Les visiteurs se rendent généralement au camp de base de l’Everest (EBC) pour admirer le sommet de près. Les meilleurs moments pour le photographier sont à l’aube ou deux heures avant le coucher du soleil, lorsque le sommet est baigné d’une lumière dorée, un phénomène surnommé “Montagne dorée” (日照金山).

    Comme le disait un voyageur :

    “Regarder les étoiles à 2h du matin, au pied de l’Everest à -5°C… c’était l’expérience la plus romantique de ma vie. Aucune photo ne pourra capturer ce que mes yeux ont vu.”

    Lorsque vous contemplez le sommet dans le silence glacial du matin ou sous les étoiles de minuit, le temps semble suspendu. Le Mont Everest vous invite à la méditation, à la grandeur et à la quête intérieure.

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  • Day 8

    Camp de Base de l’Everest – Col de Gawu La – Shigatsé|Traversée du Toit du Monde

    Transport + Visites + Repas|Environ 7 heures|Distance : 350 km|Altitude : 5200 m → 3800 m

    Col de Gyawu La : Le seul point de vue au monde sur cinq sommets de plus de 8000 mètres
    Le col de Gyawu La, perché à 5210 mètres d’altitude, se trouve sur la route entre Dingri et le camp de base de l’Everest, et constitue une étape incontournable pour les voyageurs explorant l’Himalaya. Ce site exceptionnel offre le seul panorama au monde sur cinq sommets de plus de 8000 mètres, à savoir : Makalu, Lhotse, l’Everest, Cho Oyu et Shishapangma.

    Aux premières lueurs du jour, les cimes enneigées se parent d’or sous les rayons du soleil levant — un phénomène connu en Chine sous le nom de « montagne dorée au lever du soleil » (日照金山). La tradition locale dit que voir cette lumière porte bonheur, et les habitants affirment que les montagnes entendent vos vœux.

    Le col possède deux plateformes panoramiques : la principale, située au sommet, offre une vue dégagée et spectaculaire sur toute la chaîne himalayenne. Par temps clair, l’immensité des pics enneigés éveille en chacun un profond sentiment de puissance naturelle et de paix intérieure.

    Un visiteur a partagé : « Aujourd’hui encore, la nature m’a bouleversé. J’ai l’impression d’avoir offert mon âme à ces montagnes. Voici ma photo de la montagne dorée — je vous souhaite que vos vœux se réalisent. »

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  • Day 9

    De Shigatsé à Lhassa

    Trajet + Visites + Repas : Total 9h, 270 km, altitude 3800m à 3650m

    Monastère de Tashilhunpo
    Le monastère de Tashilhunpo, dont le nom signifie « le Mont Sumeru de bon augure » en tibétain, est situé sur les pentes du mont Niser, dans la ville de Shigatsé (Xigazê), au Tibet. Il fait partie des six grands monastères de l’école Gelug du bouddhisme tibétain et fut fondé en 1447, durant la douzième année du règne Zhengtong de la dynastie Ming. Le monastère s’étend sur une superficie de 150 000 m², avec 57 logements pour les moines et un total de plus de 3 600 pièces et bâtiments.

    Son architecture marie harmonieusement l’esthétique traditionnelle tibétaine et les symboles du bouddhisme, incarnant avec grandeur l’art religieux du Tibet et la solennité spirituelle des stupas funéraires des panchen-lamas. L’une de ses merveilles les plus impressionnantes est la plus haute statue en bronze doré de Jampa (le Bouddha du futur) au monde, mesurant 26,2 mètres de haut. Selon la légende, 110 artisans auraient mis quatre années à la construire, en utilisant une grande quantité d’or et de pierres précieuses – un chef-d’œuvre aussi bien spirituel qu’artistique.

    Le monastère, construit à flanc de montagne, est composé de temples et ruelles étroitement reliés. Vu de loin, ses murs blancs, fenêtres noires, toits dorés et façades rouges s’élèvent en strates, dans une composition majestueuse et harmonieuse.

    Voici ce que disent certains visiteurs à son sujet :

    « C’est sans aucun doute le monastère le plus authentique que j’aie visité au Tibet. Bien qu’il soit moins célèbre que le palais du Potala ou le temple de Jokhang, il est aussi beaucoup moins touristique et commercialisé. Il n’y avait presque aucun touriste – seulement des moines et des habitants des villages alentours.

    En mars-avril, le climat est changeant : d’un côté, les pêchers et pruniers sont en fleurs, de l’autre, il neige à gros flocons. Les murs rouge vermillon du monastère sont encore plus éclatants sous la neige. Au loin, on entend le son grave d’une cloche, et des centaines de colombes s’envolent au-dessus des toits dorés comme une tempête – un moment qui ressemblait à une véritable révélation. »

    Un voyage à travers la lumière sacrée de l’Histoire, qui vous permettra non seulement d’admirer la beauté architecturale et la richesse culturelle du monastère de Tashilhunpo, mais aussi de ressentir l’hospitalité et la simplicité sincère du peuple tibétain.

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  • Day 10

    Transfert à l’aéroport de Lhassa

    Le guide vous accompagne à l’aéroport — le temps passe vite, vous entamez déjà le chemin du retour. Rempli de souvenirs et d’émotions, en parfaite harmonie avec la nature, le voyage s’achève, mais la beauté de la vie continue de résonner dans votre cœur. Revenez vite à Lhassa. Tashi Delek !

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